Alphonse de LAMARTINE (1790 - 1869), French writer
Autograph letter signed "dear and illustrious colleague". Paris, October 20, 1849; 3 pages in-8 °.
Beautiful letter of praise in which the deputy Lamartine praises Science against "socialist stupidities".
Lamartine read the "Monge". "But it's from the Academy of Sciences. Too high for me. I thank you for the name of Burgundy [Lamartine is from Mâcon]. But what I received and read the next day was the
beautiful manifesto against the socialist stupidities of M. Pelletier. It is a sign of the subject of you and theirs. It is the reasoned and overwhelming eloquence of common sense served by science.
I see unanimous success. I am still sick with my rheumatism on my stomach (…) I am still in a lot of pain and I cannot join you, assuming that the weather relieves me only at the end of November. You
don't need me right now and I have a conscientious feeling that I would be doing more harm than help in both causes. It consoles me for my enforced idleness (…) "
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Alphonse de LAMARTINE (1790 - 1869), écrivain français
Lettre autographe signée « cher et illustre collègue ». Paris, 20 octobre 1849 ; 3 pages in-8°.
Belle lettre élogieuse où le député Lamartine rend gloire à la Science contre « les sottises socialistes ».
Lamartine a lu le « Monge ». « Mais c'est de l'Académie des Sciences. Trop haut pour moi. Je vous rends grâce au nom de la Bourgogne [Lamartine est originaire de Mâcon]. Mais ce que j'ai reçu et lu
le lendemain c'est le beau manifeste contre les sottises socialistes de M. Pelletier. Cela est signe du sujet de vous et des leurs. C'est l'éloquence raisonnée et foudroyante du bon sens servi par la
science. Je vois un succès unanime. Je suis toujours malade de mon rhumatisme sur l'estomac (…) Je souffre encore beaucoup et je ne puis vous rejoindre à supposer que le tems me soulage qu'à la fin
de novembre. Vous n'avez pas besoin de moi en ce moment et j'ai le sentiment consciencieux que je serais plus nuisible qu'utile aux deux causes. Cela me console de mon oisiveté forcée (…) »