Victor HUGO (1802-1885), escritor francés Poema de autógrafos. Slnd; 1 páginas en-4 °. Pliegue central Dos poemas breves escritos en la misma hoja. Quatrain escribe como parte de una suscripción pública a favor del brigadier Dominique Millot, del octavo regimiento de coraceros, que se ha quedado ciego: "Ciego como Homero y como Belisario, Tener un solo hijo como guía y apoyo. La mano que dará pan a su miseria, Él no lo verá, pero Dios lo verá por él " Victor Hugo se refiere aquí al Generalísimo Bélisaire, el último gran defensor del Imperio Romano en el siglo VI, vencedor de los Vándalos y Ostrogodos, bajo el reinado de Justiniano. Su final es equívoco, representado como un cónsul y un general triunfante, duque de Mesopotamia, líder supremo de las tropas imperiales de Oriente. Cuando otros le dan un final triste, como el filósofo Jean-François Marmontel imaginándolo ciego, guiado por un adolescente, mendigando en las calles de Constantinopla, y Jacques-Louis David pintándolo pidiendo limosna. A continuación sigue un bonito pareado que el poeta introduce con esta frase: "escrito en la chimenea de la habitación de la señora de La Vallière en St Germain": "Aquí se amaban, dulce, él victorioso, Él rey por sus antepasados, tú reina de memoria "
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Victor HUGO (1802 - 1885), écrivain français
Poème autographe. S.l.n.d. ; 1 pages in-4°. Pliure centrale
Deux courts poèmes rédigés sur une même feuille.
Quatrain écrit dans le cadre d'une souscription publique en faveur du brigadier Dominique Millot, du 8ème régiment de cuirassiers, devenu aveugle :
« Aveugle comme Homère et comme Bélisaire,
N'ayant plus qu'un enfant pour guide et pour appui
La main qui donnera du pain à sa misère,
Il ne la verra pas, mais Dieu la voit pour lui »
Victor Hugo fait ici référence au généralissime Bélisaire, dernier grand défenseur de l'empire romain au VIème siècle, vainqueur des Vandales et des Ostrogoths, sous le règne de Justinien. Sa fin
est
équivoque, représenté en consul et général triomphateur, duc de Mésopotamie, chef suprême des troupes impériales d'Orient. Quand d'autres lui donnent une triste fin, à l'instar du philosophe
Jean‑François Marmontel l'imaginant aveugle, guidé par un adolescent, mendiant dans les rues de Constantinople, et de Jacques-Louis David le peignant en demandant l'aumône.
Suit, au-dessous, un joli distique que le poète introduit par cette phrase : « écrit sur la cheminée de la chambre de Mme de La Vallière à St Germain » :
« Ici vous vous aimiez, toi douce, lui vainqueur,
Lui roi par ses aïeux, toi reine par le cœur »