FLAUBERT Gustave (Rouen 1821 - Croisset 1880), escritor francés Carta autógrafa firmada por la editorial Alphonse LEMERRE. Croisset, 31 de julio (1879). 1 página en-8 °. Carta rica en contenido sobre la reedición de Salammbô y la edición de los poemas del difunto amigo de Flaubert, Louis Bouilhet. “… Me sorprende no recibir la última y penúltima prueba de Salammbô, que solo he visto una vez. ¿De dónde viene este retraso? ¿Cuándo lanzará los dos volúmenes? ¿Qué pasa con los poemas completos de Bouilhet? Dónde estamos ? Por favor, tenga la amabilidad de responderme y reciba un cordial apretón de manos de su Gus. Flaubert. Croisset, cerca de Rouen ”. A la muerte de su amigo Louis Bouilhet el 18 de julio de 1869, Flaubert perdió a su mejor amigo y también a “su partera, la que vio mis pensamientos con más claridad que yo”, le escribió a George Sand. Es su deber dar a conocer la obra literaria de su amigo.
Este aviso se ha traducido automáticamente.
Haga clic aquí para ver la versión original ((locale)
.Gustave FLAUBERT (1821 - 1880), écrivain français
Lettre autographe signée à l’éditeur Alphonse Lemerre. Croisset, 31 juillet (1879). 1 page in-8°.
Lettre riche de contenu concernant la réédition de Salammbô et l’édition des poésies du défunt ami de Flaubert, Louis Bouilhet.
«…Je m’étonne de ne pas recevoir la dernière et l’avant-dernière épreuve de Salammbô – que je n’ai vues qu’une fois. D’où vient ce retard ? Quand faites-vous paraître les deux volumes ? Et les Poésies complètes de Bouilhet ? Où en sommes-nous ? Soyez assez bon de me répondre et recevez une cordiale pognée de main de votre Gus. Flaubert. Croisset, près de Rouen »
Flaubert choisit de rédiger un roman historique qui se passe à Carthage dans un orient aux saveurs exotiques, sensuelles et emprunte de violence. Salammbô nait dans la douleur, il écrit : " Je n'en peux plus ! Le siège de Carthage que je termine maintenant m'a achevé. Les machines de guerre me scient le dos ! Je sue du sang, je pisse de l'huile bouillante, je chie des catapultes et je rote des balles de fondeur. Tel est mon état. "
A la mort de son ami Louis Bouilhet, le 18 juillet 1869, Flaubert perd son plus proche ami et également « son accoucheur, celui qui voyait dans ma pensée plus clairement que moi-même » écrit-il à George Sand. Il se donne comme devoir de faire connaitre l’œuvre littéraire de son ami.