Carta autógrafa firmada al editor Hippolyte Souverain. [París, junio-julio de 1850]; 1 página en-8°
Carta sobre la nueva edición de Escenas de la vida oriental publicada por primera vez en 1848 por la editorial Sartorius. Los dos volúmenes serán retomados más tarde por el editor Souverain en
1850.
Este año marca la finalización de sus diarios de viaje con la publicación, al año siguiente, de Voyage en Orient.
Nerval comienza quejándose del retraso en la publicación de las "Confidences de Nicolas" en la Revue des Deux (publicadas en folletín durante el verano de 1850, serán retomadas en volumen en
Les
Illuminés en 1852): "L'on m'a retrasado otros 15 días debido a las noticias de Mérimée. Si tuviera que lidiar con la suma le preguntaría a Buloz que me debe mucho ya que tengo 50 páginas impresas
y
cuarenta más hechas y le debo solo 260 f. Si pueden esperar me gustaria mas para no molestarlo pero por si se demora mas prometo darles el 15 sin falta. Además, Sartorius llega en cuatro o cinco
días
a lo que escribe. Trataré de ir a verte mañana (…) puse un buen anuncio en la revista ahora tengo más tiempo ya me encargo. Tendré un artículo en el Century. »
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Lettre autographe signée à l'éditeur Hippolyte Souverain. [Paris, juin-juillet 1850] ; 1 page in-8°
Lettre à propos de la nouvelle édition des Scènes de la vie orientale publiées une première fois en 1848 par l'éditeur Sartorius. Les deux volumes seront repris par la suite par l'éditeur
Souverain
en 1850. Cette année marque l'achèvement de ses récits de voyage par la parution, l'année suivante, de Voyage en Orient.
Nerval commence par se plaindre du retard de la publication des « Confidences de Nicolas » dans la Revue des Deux (parues en feuilleton durant l'été 1850, elles seront reprises en volume dans
Les
Illuminés en 1852) : « L'on m'a encore reculé de 15 jours à cause d'une nouvelle de Mérimée. Si vous aviez affaire de la somme je la demanderais à Buloz qui m'en doit beaucoup puisque j'ai 50
pages
d'imprimées et quarante en plus de faites et que je lui dois que 260 f. Si vous pouvez attendre je l'aimerais mieux pour ne pas le tracasser mais dans le cas où cela serait encore retardé je
vous
promets de les lui faire donner le 15 sans faute. Du reste Sartorius arrive dans quatre à cinq jours à ce qu'il écrit. Je tâcherai de venir vous voir demain (…) J'ai mis une bonne annonce dans
la
revue à présent j'ai plus de temps je vais m'en occuper. J'aurai un article au Siècle. »
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