Georges CLEMENCEAU (1841-1929), periodista y estadista francés Carta autógrafa firmada por el general Michel Alexandre Gaston Tournier. París, 29 de diciembre de 1924; 1 página ½ in-4 °. Carta del viejo tigre, al final de su vida. Carta tomada de la modestia, la sabiduría y el humor, el vencedor de Verdún, jubilado, saborea el simple placer de las hermosas flores de su jardín de Vendée, y se pone a escribir reflexiones filosóficas, “Au soir de la pansi”, de las que no Espere cualquier gloria póstuma: “Tuve el mayor placer de recibir tu buena carta de Año Nuevo. No tiene ninguna duda de que sus deseos de amistad le serán devueltos con creces. Veo con agrado que eres un filósofo, ya que te acercas a la tierra, como lo hago yo mismo antes de volver allí. Tengo un pequeño trozo de arena junto al mar de Vendée [Saint-Vincent-sur-Jard] donde a veces crecen hermosas flores. Lo lamentable es que los maremotos y las tormentas me muerden de vez en cuando. Pero a fuerza de albañilería, espero aguantar hasta mi último día. Escribo, como lo adivinaste, ¡pero estos no son recuerdos no de no! Me contento con una sencilla obra de filosofía ["En la tarde del pensamiento"] que nadie leerá y que no se publicará hasta mucho después de mi muerte. Es casi tan inofensivo como sus gallinas y conejos, que he respetado durante mucho tiempo. Podemos lastimar más que nosotros, ¿no? Dándote las gracias por no olvidarme y prometiéndote reciprocidad de buen corazón (…) ” "En la tarde del pensamiento" es una obra filosófica de reflexiones sobre el hombre, las religiones, la cultura, el progreso, que ocupa plenamente sus viejos tiempos. Fue publicado en 1927, dos años antes de su muerte.
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Georges CLEMENCEAU (1841 - 1929), journaliste et homme d'Etat français
Lettre autographe signée au général Michel Alexandre Gaston Tournier. Paris, 29 décembre 1924 ; 1 page ½ in-4°.
Lettre du vieux tigre, au soir de sa vie. Lettre emprunte de modestie, de sagesse et d'humour, le vainqueur de Verdun, retraité, goûte au plaisir simple des belles fleurs de son jardin vendéen,
et
s'attèle à la rédaction de réflexions philosophiques, « Au soir de la pensée », dont il n'attend du reste aucune gloire posthume : « J'ai eu le plus grand plaisir à recevoir votre bonne lettre
de
nouvel an. Vous ne doutez pas que vos vœux d'amitié ne vous seront amplement retournés. Je vois avec plaisir que vous êtes un philosophe, puisque vous vous rapprochez de la terre, comme je fais
moi-même avant que d'y retourner. J'ai un petit coin de sable au bord de la mer de Vendée [Saint-Vincent-sur-Jard] où parfois poussent de belles fleurs. Le malheur est que raz de marée et
tempêtes
m'en emportent de temps en temps un morceau. Mais à force de maçonnerie, j'espère tenir bon jusqu'à mon dernier jour. J'écris, comme vous l'avez deviné, mais ce ne sont pas des mémoires non de non
!
Je me contente d'un simple ouvrage de philosophie [« Au soir de la pensée »] que personne ne lira et qui ne sera publié que longtemps après ma mort. C'est presque aussi inoffensif que vos poules
et
vos lapins dont j'ai le respect depuis longtemps. On peut faire plus mal que nous, n'est-ce pas ? En vous remerciant de ne pas m'oublier, et en vous promettant la réciprocité de bon cœur (…) »
« Au soir de la pensée » est un ouvrage philosophique de réflexions sur l'homme, les religions, la culture, le progrès, qui occupe pleinement ses vieux jours. Il est publié en 1927, deux ans avant
sa
mort.