François-René de CHATEAUBRIAND (1769-1848)
Carta firmada por “Chateaubriand” y escrita por Hyacinthe Pilorge, París, el 17 de enero de 1833, al poeta Charles Laurent.
Una página y media. Con dirección.
Hermosa carta sobre religión y poesía.
Chateaubriand lo felicita:
“haber dedicado tus primeras canciones a la Religión; verdadera fuente de poesía, cuanto más descuidada hoy, más tesoros tiene para prodigar a quienes se consagran a sus altares.
Algunos viejos volterianos que rondan por este siglo y que en su ignorancia no tienen la menor idea de la actual renovación del cristianismo a través de la historia y la filosofía, todavía están
a las agradables travesuras de mi primo Vadé (seudónimo de Voltaire); nuestra juventud educada y seria ya no está; ella entiende que la larga civilización cristiana sustituyó
La civilización griega y romana, cambió la faz del mundo y que sólo por eso, todavía valdría la pena estudiar: el desdén de estas pelucas incrédulas es
verdaderamente agradable”…
Este aviso se ha traducido automáticamente.
Haga clic aquí para ver la versión original ((locale)
François-René de CHATEAUBRIAND (1769-1848)
Lettre signée « Chateaubriand » et écrite par Hyacinthe Pilorge, Paris, 17 janvier 1833, au poète Charles Laurent.
Une page et demie. Avec adresse.
Belle lettre sur la religion et la poésie.
Chateaubriand le félicite :
« d'avoir consacré vos premiers chants à la Religion ; véritable source de la poésie, plus elle est délaissée de nos jours, plus elle a de trésors à prodiguer à ceux qui se consacrent à ses
autels.
Quelques vieux Voltairiens qui traînent dans ce siècle et qui dans leur ignorance n'ont pas la moindre idée du renouvellement actuel di Christianisme par l'histoire et la philosophie, en sont
encore
aux agréables bouffonneries de mon cousin Vadé (pseudonyme de Voltaire) ; notre jeunesse instruite et sérieuse n'en est plus là ; elle comprend que la longue civilisation chrétienne substituée à
la
civilisation grecque et romaine, a changé la face du monde et que par cette seule raison, elle vaudroit encore bien la peine d'être étudiée : les dédains de ces perruques incrédules sont
véritablement plaisants »…