Fernand Leger
La prueba de que el hombre desciende del mono.
Fotografía original. A [RGONNE], 23 de abril de 1916.
Impresión en plata vintage (158 x 97 mm) montada sobre cartón (318 x 250 mm) con triple red estirada. Firmado y fechado "F Léger A. 23-4 + 16".
Algunos pliegues, espejos plateados.
En el frente de Normandía en Argonne, Léger produjo 6 obras, 4 de las cuales fueron hechas con materiales improvisados (tronco y tablas de madera). Una visión cómica de la vida del soldado en la
línea del frente. La prueba de que el hombre desciende del mono es una de las dos únicas pinturas conocidas que Léger realizó en 1915, que regaló a su amigo el capitán Blanc. Para conservar un
rastro de estas dos obras, Léger realizó varias reproducciones en 1916: además de esta fotografía fechada en abril, también conocemos un boceto en negro posterior a esta pintura (Sotheby's, París,
16 de diciembre de 2008, lote 122).
Con una punta metálica, Léger tacha algunos elementos de la fotografía en blanco y negro (en particular, la trompeta en la parte superior izquierda), para hacer presente el relieve en el
lienzo.
Referencias: G. Bauquier, Fernand Léger, Catálogo razonado de obras pintadas, 1903-1919, n ° 99, p. 183 (para la mesa).
Tamaño :
- Altura : 31.8 cm
- Anchura : 25 cm
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Fernand Léger
La preuve que l'homme descend du singe.
Photographie Originale. A[RGONNE], 23 AVRIL 1916.
Tirage argentique d'époque (158 x 97 mm) contrecollé sur carton (31.8 x 25 ) avec triple filet dessiné. Signée et datée "F Léger A. 23-4+16".
Quelques pliures, miroirs d'argent.
Au front de Normandie à Argonne, Léger réalise 6 œuvres, dont 4 sur des matériaux de fortune (tronc de bois et planches). Vision comique de la vie du soldat sur la ligne de front, La preuve que
l'homme descend du singe est l'un des deux seuls tableaux connus que Léger réalise en 1915, qu'il offre à son ami le capitaine Blanc. Pour conserver une trace de ces deux œuvres, Léger exécuta
plusieurs reproductions en 1916 : outre cette photographie datée d'avril, on connaît aussi un croquis en noir d'après ce tableau (Sotheby's, Paris, 16 décembre 2008, lot 122).
Avec une pointe métallique, Léger a gratté certains éléments de la photographie en noir et blanc (notamment la trompette en haut à gauche), pour rendre le relief présent dans la toile.
Références : G. Bauquier, Fernand Léger, Catalogue raisonné de l'œuvre peint, 1903-1919, n° 99, p. 183 (pour le tableau).