Gabon or Democratic Republic of the Congo
Reliquary Guardian Figure Kota Ndassa
Height: 51 cm - with base 53 cm (sold with base)
Width: 24cm
Wood, copper and brass
Around 1950 - 1960
The Kota, as well as the Mahongwé, Ndassa, Shamaye, Obamba (which are ethnic sub-groups) are renowned for their reliquaries.
Initially, the Kota used to leave their dead exposed to the elements, in the forest.
Under the influence of neighboring tribes, they began to bury their chiefs, then to exhume their bones (mainly the skull) to place them in bark boxes or baskets called bwété, on which a statue was
placed.
Of these boxes or wicker baskets rarely complete, we know above all the sculptures which surmounted them, intended to warn of the forces of the invisible likely to lessen the supernatural power of
the relics.
"Such reliquaries were entrusted to clan chiefs who kept them hidden, sometimes harnessing the power of the relics for the benefit of the clan.
When serious crises affected the village (a village bringing together several clans), the chiefs gathered their reliquaries in order to perform rites.
This cult was known as bwiti by the Mahongwé and their neighbors, for whom the guardians constituted the "faces" of the bwété. Each image had its name, its specific powers.
Source: Branly Museum
This description has been translated automatically. please click here
Click here to display the original language FR
Gabon ou République démocratique du Congo
Figure de Gardien de Reliquaire
Kota Ndassa
Hauteur : 51 cm - avec socle 53 cm (vendu avec socle)
Largeur : 24 cm
Bois, cuivre et laiton
Vers 1950 - 1960
Les Kota, ainsi que les Mahongwé, Ndassa, Shamaye, Obamba (qui sont des sous-groupes ethniques) sont réputés pour leurs reliquaires.
Initialement, les Kota avaient habitude de laisser leurs morts exposés aux éléments, dans la forêt.
Sous l'influence de tribus voisines, ils commencèrent à enterrer leurs chefs, puis à exhumer leurs ossements (principalement le crâne) pour les placer dans des boîtes en écorce ou des paniers
appelé bwété, sur lesquels une statue était placée.
De ces boîtes ou paniers en osier rarement complets, nous connaissons surtout les sculptures qui les surmontaient, destinées à mettre en garde les forces de l'invisible susceptibles d'amoindrir le
pouvoir surnaturel des reliques.
"De tels reliquaires étaient confiés à des chefs de clan qui les tenaient
cachés, mettant parfois à contribution le pouvoir des reliques au profit du clan.
Lorsque des crises graves touchaient le village (un village regroupant plusieurs clans), les chefs rassemblaient leurs reliquaires afin d'effectuer des rites.
Ce culte était connu sous le nom de bwiti par les Mahongwé et leurs voisins, pour qui les gardiens constituaient les "visages" du bwété. Chaque image avait son nom, ses pouvoirs spécifiques.
Source : Musée Branly