Autograph letter signed “Henri” to his mother Adèle Zoë Tapié de Céleyran. (Paris, summer 1889); 3 pages in-8°. Incomplete letter of its central part not preventing its understanding.
Nice family letter: "My dear mother, I tremble taking the pen (in order to write you this word of letter, as the pioupious say) to make you feel the repercussions of the bad mood where I am thanks to offal water which have not stopped for 3 days. Nothing to do but watch the rain fall. I had the family yesterday. Uncle Charles buys [des] crossbows and other toys intended to clutter up his hostel. Your projects seem to me based on vague data. You should not push a Coursan point [Coursan near Narbonne], if you believe the thing urgent, until towards the end of September, I doubt that the smalah is still there or at least is still in Palavas. I would like to find an Arcachonnaise combination, but there are a lot of buts. I end with a wet kiss to the bone. Your boy Henry. Addition at the top of the first page: “I reread my letter. She's not in too bad a mood. So much the better ".
Henri Marie Raymond de Toulouse-Lautrec-Monfa was born in Albi on November 24, 1864. He is the son of Count Alphonse de Toulouse-Lautrec and Adèle Tapié de Celeyran, both cousins. His parents separated shortly after his birth. He spent his childhood raised by his mother and two grandmothers, between Albi and his family castles in Céleyran and Bosc. Henri stayed for the first time in Arcachon in 1872, then aged 8, with his mother Adèle. In 1878, he broke his femur following a bad fall which revealed a fragility of the bones. He won't grow anymore. Lying down, he spent his time drawing under the encouragement of his uncle, Charles de Toulouse-Lautrec, younger brother of his father, and amateur artist, whose charcoal portrait Henri executed in 1882.
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Lettre autographe signée « Henri » à sa mère Adèle Zoë Tapié de Céleyran. (Paris, été 1889) ; 3 pages in-8°. Lettre incomplète de sa partie centrale n'empêchant pas sa compréhension.
Jolie lettre familiale : « Ma chère maman, je tremble en prenant la plume (afin de vous écrire ce mot de lettre, comme disent les pioupious) de vous faire ressentir le contrecoup de la mauvaise
humeur où je suis grâce à des abats d'eau qui n'arrêtent pas depuis 3 jours. Rien à faire qu'à regarder tomber la pluie. J'avais hier la famille. Oncle Charles achète [des] arbalètes à rouet et
autres joujoux destinés à encombrer son hostel. Vos projets me semblent fondés sur des données vagues. Vous ne devant pousser une pointe coursanaise [Coursan près de Narbonne], si vous croyez la
chose urgente, que vers la fin de septembre, je doute que la smalah y soit encore ou du moins soit encore à Palavas. Je voudrais trouver une combinaison arcachonnaise mais, il y a beaucoup de mais.
Je termine par un baisé mouillé jusqu'aux os. Votre boy Henri. Ajout en haut de première page : « Je relis ma lettre. Elle n'est pas de trop mauvaise humeur. Tant mieux ».
Henri Marie Raymond de Toulouse-Lautrec-Monfa nait à Albi, le 24 novembre 1864. Il est le fils du comte Alphonse de Toulouse-Lautrec et d'Adèle Tapié de Celeyran tous deux cousins. Ses parents se
séparent peu après sa naissance. Il passe son enfance élevé par sa mère et ses deux grands-mères, entre Albi et ses châteaux familiales à Céleyran et au Bosc. Henri séjourne pour la première fois à
Arcachon en 1872, alors âgé de 8 ans, avec sa mère Adèle. En 1878, il se casse le fémur suite à une mauvaise chute qui révèle une fragilité des os. Il ne grandira plus. Allongé, il passe son temps à
dessiner sous les encouragements de son oncle, Charles de Toulouse-Lautrec, frère cadet de son père, et artiste amateur, dont Henri exécute le portrait au fusain en 1882.
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