Victor HUGO (1802 - 1885), französischer Schriftsteller
Eigenhändiger Brief an die Schriftstellerin und Dichterin Delphine de Girardin. 28. Juni (1840); 1 Seite in-4°, Adresse auf der Rückseite.
Charmanter Brief von Victor Hugo, der ungeduldig ist, die letzte Spalte des Schriftstellers zu kennen: "Wären Sie gut genug, Madam, um dieses Dankeschön an Ihren Fremden zu übermitteln, dessen charmante Serie ich gerade gelesen habe?" Und du ! Was für ein schöner Brief hast du uns gestern geschrieben! Ich bitte dich tausendmal um Verzeihung, aber ich freue mich, dass dein Unbekannter mir diese Gelegenheit gegeben hat, dir mein Herz und meine Seele zu Füßen zu legen…“
Delphine de Girardin (1804 - 1855), deren Mutter Schriftstellerin Sophie Nichault de la Vallette zu ihrer Zeit einen literarischen Salon führte, veröffentlichte im Alter von sechzehn Jahren ihre ersten Verse in der Muse française. Seine Ehe mit dem Journalisten und Politiker Émile de Girardin hilft ihm, spirituelle Chroniken über das zeitgenössische Paris in der Zeitung La Presse zu veröffentlichen. Der Courrier de Paris ist ein großer Erfolg. Sie schrieb auch mehrere Romane, darunter Le Lorgnon, Kurzgeschichte, Monsieur le Marquis de Pontanges, La Canne von M. de Balzac sowie Dramen wie Judith, Cléopâtre, C'est la fault du mari. Sein literarischer Salon wird von den größten Schriftstellern seiner Zeit besucht.
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Victor HUGO (1802 - 1885), écrivain français
Lettre autographe signée à l'écrivaine et poétesse Delphine de Girardin. 28 juin (1840) ; 1 page in-4°, adresse au dos.
Charmant courrier de Victor Hugo qui s'impatiente de connaitre la dernière chronique de l'écrivaine : « Est-ce que vous seriez assez bonne, Madame, pour transmettre ce remerciement à votre inconnu
dont je viens de lire le charmant feuilleton ? Et vous ! Quel ravissant courrier vous nous avez écrit hier ! Je vous demande mille pardons, mais je suis charmé que votre Inconnu m'ait donné cette
occasion de me mettre cœur et âme à vos pieds… »
Delphine de Girardin (1804 - 1855), dont la mère écrivaine, Sophie Nichault de la Vallette, tenait un salon littéraire en son temps, publie ses premiers vers, dans la Muse française, à l'âge de seize
ans. Son mariage avec le journaliste et politique Émile de Girardin, l'aide à publier des chroniques spirituelles sur le Paris contemporain dans le journal La Presse. Le Courrier de Paris rencontre
un vif succès. Elle écrit également plusieurs romans dont Le Lorgnon, nouvelle, Monsieur le Marquis de Pontanges, La Canne de M. de Balzac, ainsi que des drames comme Judith, Cléopâtre, C'est la
faute du mari. Son salon littéraire est fréquenté par les plus grands écrivains de son époque.