Honoré Gabriel Riqueti Graf von MIRABEAU (1749 - 1791), französischer Revolutionär, der große Redner der Anfänge der Französischen Revolution.
Autogrammbrief mit der Unterschrift "Mirabeau fils" an Herrn Michaud, den Anwalt des Königs bei Herrn Morand in Largillia. [20. Februar 1776]; 1/2 Seiten in-8 °, Adresse auf der Rückseite, zwei
Spuren roten Wachssiegels, Adressseite mit Schmutz.
Mirabeau, der wegen Ehebruchs in Pontarlier versteckt ist, verbindet sich mit Jean-Baptiste Michaud, dem Anwalt des Königs in der Vogtei von Pontarlier, dem Bruder von Jeanneton, seiner Geliebten:
"Sobald mein Brief eingegangen ist, erwarte ich Ihre Freundschaft, mein lieber Freund Sie werden Ihr Pferd reiten, um hierher zu kommen. Du wirst mich dort finden, wo deine Schwestern es dir sagen,
und wo sie allein wissen, kannst du mich sofort dort sehen, Bring Monvaiset; bitte ihn in meinem Namen, dir sofort zu folgen; Ich umarme dich, zögere keinen Moment. Es geht alles um. Karneval um 9:30
Uhr abends ... "
Mirabeau, Spender und launisch, erlitt Repressalien von seinem Vater. Er wurde 1774 nacheinander verboten und im Château d'If und dann im Fort de Joux eingesperrt. Er profitiert von Nachsicht und
findet eine Unterkunft in der nahe gelegenen Stadt Pontarlier. Er besucht eine gute Gesellschaft und setzt seine Frivolität fort, die Marquise Sophie de Monnier wird eine seiner Geliebten, es ist
nicht bekannt, was ihn zwingt, sich Mitte Januar 1776 in Pontarlier zu verstecken, er wird dann auf dem Laufenden gehalten. des Haftverfahrens gegen ihn durch die Anwältin Mauvaiset, Liebhaberin
eines leichten Mädchens, Marguerite Barbaud, in deren Haus Mirabeau Sophie Monnier traf.
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Honoré Gabriel Riqueti comte de MIRABEAU (1749 - 1791), révolutionnaire français, le grand orateur des débuts de la Révolution française.
Lettre autographe signée « Mirabeau fils » à Monsieur Michaud, procureur du roi chez Mr Morand à Largillia. [20 février 1776]; 1/2 pages in-8°, adresse au dos, deux vestiges de cachet de cire rouge,
page d'adresse avec salissures.
Mirabeau recherché pour adultère se cache à Pontarlier, il se lie avec Jean-Baptiste Michaud, procureur du roi au baillage de Pontarlier, frère de Jeanneton sa maîtresse : « Sitôt ma lettre reçue,
j'attends de votre amitié, mon cher ami, que vous monterez à cheval pour venir ici. Vous m'y trouverez où vos sœurs vous diront, et où elles seules sçavent, vous pourrez m'y voir sur le champ, Amenez
Monvaiset ; priez-le de ma part de vous suivre tout de suitte ; je vous embrasse, ne tardez pas un instant. Il s'agit du tout. Mardi gras à 9 heures ½ du soir… »
Dépensier et volage, Mirabeau subit des mesures de représailles de son père. Il est successivement frappé d'interdiction en 1774, emprisonné au château d'If puis au fort de Joux. Bénéficiant d'une
clémence, il peut se loger dans la ville proche de Pontarlier. Il fréquente la bonne société et continue ses frivolités, la marquise Sophie de Monnier devient une de ses maîtresses, cela finit pas se
savoir, ce qui l'oblige à se cacher à Pontarlier à la mi-janvier 1776, il est alors tenu au courant de la procédure d'emprisonnement à son encontre par l'avocat Mauvaiset, amant d'une fille légère,
Marguerite Barbaud, chez qui Mirabeau rencontrait Sophie Monnier.
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