Louis PASTEUR (1822 - 1895), französischer Chemiker und Biologe.
Autogrammbrief an Tierarzt Achille Maucuer. Paris, 21. Mai 1881; 1 Seite in-8 °. Gehrungsspuren am Rand.
Pasteur, der mit der Untersuchung von Viruserkrankungen begonnen hatte, beginnt auf Drängen von Bollènes Tierarzt Achille Maucuer mit neuen Forschungen zur Meeräsche.
"Sie waren so freundlich, mich als Antwort auf ein Telegramm zu informieren, dass ich die Ehre hatte, Sie im April zu senden, dass Sie noch keine Rotbarbe hatten, dass das Böse erst Ende des Jahres
mehr auftauchte. Gestatten Sie mir, Ihnen den Wunsch zu erneuern, dass ich in den Besitz eines jungen Schweins gebracht werden muss, das von dieser Infektion erreicht wurde, oder genau zu wissen,
dass die Krankheit hier oder da in Vaucluse ist. Ich zähle auf Ihre Freundlichkeit, mir diese Informationen so schnell wie möglich zu geben. L. Pasteur. Ich werde jemanden [Dr. Roux] schicken, der
Ihnen Bericht erstattet, ein Wort Schwein aus einem lebenden Schweineblut oder Trümmer aus einem toten Schwein. ""
Die Schweineimpfung ist ein Glied in der Kette der prestigeträchtigen Entdeckungen von Pasteur. Nach einem Veterinärstudium in Lyon richtete Achille Maucuer in Bollène im Vaucluse ein kleines Labor
ein. Während Pasteur an "dem schwierigen Problem der Ätiologie ansteckender, ansteckender und virulenter Krankheiten" arbeitete (Ansprache von Pasteur vom 9. Februar 1877 an den Minister für
öffentliche Bildung), das ihn veranlasste, Anthrax und Septikämie zu studieren, Maucuer, der das kennt Arbeit von Pasteur, die Warnung vor den Verwüstungen durch die Rotbarbe im Schweinefleisch in
Vaucluse. Aber Pasteur führt mehrere Schlachten an, er beginnt eine Studie über Hühnercholera, am 8. August präsentiert er auf dem Londoner Kongress die meisterhafte Studie über seine Methode,
tödliche Viren in Impfstoffe umzuwandeln. Er wollte jedoch die Meeräsche bekämpfen und gleichzeitig seine Forschungen zur Tollwutprophylaxe durchführen. Im Mai 1881 machte sich Pasteur Sorgen
darüber, ob es in Vaucluse noch Krankheiten gibt, wie unser Brief an Maucuer berichtet. In der Tat ist es eine Krankheit, die sich zu dieser Jahreszeit zu zeigen scheint. Im Dezember 1882 schätzte
er, dass im nächsten Frühjahr ein Impfstoff gefunden werden würde. Die ersten Impfungen begannen mit Vorsicht im Mai 1883. Am 4. September desselben Jahres freute sich Achille Maucuer, indem er
Pasteur schrieb: "Die glücklichen Auswirkungen der Impfung werden von Tag zu Tag deutlicher (...)."
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Louis PASTEUR (1822 - 1895), chimiste et biologiste français.
Lettre autographe signée au vétérinaire Achille Maucuer. Paris, 21 mai 1881 ; 1 page in-8°. Traces d'onglet sur la tranche.
Pasteur, qui avait commencé l'étude des maladies virales, se lance dans de nouvelles recherches sur le rouget du porc à l'incitation du vétérinaire de Bollène Achille Maucuer :
« Vous avez eu l'obligeance de m'informer en réponse à un télégramme que j'ai eu l'honneur de vous adresser au mois d'avril, que vous n'aviez pas encore de rouget que le mal n'apparaissait que plus
tard dans l'année. Permettez-moi de vous renouveler le désir que j'ai d'être mis en possession d'un jeune porc atteint de cette infection, ou avoir la connaissance précise que la maladie soit, ici ou
là, dans le Vaucluse. Je compte sur votre obligeance pour me donner, dès que vous le pouvez cette information. L. Pasteur. J'enverrai quelqu'un [le docteur Roux] pour vous rapporter, d'un porc mot
d'un porc vivant du sang, ou débris d'un porc mort. »
La vaccination du porc est un maillon dans la chaine des découvertes prestigieuses de Pasteur. Après des études vétérinaires à Lyon, Achille Maucuer monte un petit laboratoire à Bollène dans le
Vaucluse. Alors que Pasteur travaille sur « le difficile problème de l'étiologie des maladies contagieuses, infectieuses et virulentes » (allocution de Pasteur du 9 février 1877 au ministre de
l'instruction publique) qui l'amène à étudier les maladies charbonneuses et la septicémie, Maucuer, qui connait les travaux de Pasteur, l'alerte sur les ravages causés par le rouget du porc dans le
Vaucluse. Mais Pasteur mène plusieurs batailles, il démarre une étude sur le choléra des poules, le 8 août au congrès de Londres, il présente la magistrale étude sur sa méthode de transformation des
virus mortels en vaccins. Cependant il désire s'attaquer au rouget du porc tout en menant de front ses recherches sur la prophylaxie de la rage. Au mois de mai 1881, Pasteur s'inquiète de savoir s'il
y a encore la maladie dans le Vaucluse comme le relate notre lettre à Maucuer. En effet, c'est une maladie qui semble se révéler à cette période-là de l'année. Au mois de décembre 1882 il estime
qu'un vaccin sera trouvé au printemps prochain. Les premières vaccinations commencent avec prudence en mai 1883. Le 4 septembre de la même année Achille Maucuer se réjouit en écrivant à Pasteur : «
Les heureux effets de la vaccination deviennent tous les jours de plus en plus évidents (…) »